Kokuriko-saka Kara sera le prochain ghibli, signé Goro Miyazaki

Kokuriko-saka Kara, que l’on peut traduire par « depuis la pente de Coquelicot », sera donc le prochain film d’animation des studio Ghibli et il sera donc signé par le fils Miyazaki à qui l’on doit déjà Les contes de Terremer.

Goro Miyazaki adoptera donc le manga Kokuriko Zaka Kara (remontant à 1980), signé Chizuru Takahashi Tetsurō Sayama, le projet est tout de même scénarisé par Hayao Miyazaki ainsi que par Keiko Niwa.
L’histoire de ce prochain film nous emmènera en 1963 à la veille des Jeux Olympiques d’été de 1964.

En ce qui concerne la musique du film, elle sera produite par Satoshi Takebe.

La sortie du film est prévue au cinéma pour l’été 2011 au Japon ( hiver 2011-2012 en France ? )

Il existe déjà le site officiel du film mais tout en japonais par ici .

Plus d’informations dès que possible !

Lire aussi :   Suzuki annonce le démantèlement du département de production du Studio Ghibli

8 réflexions sur “Kokuriko-saka Kara sera le prochain ghibli, signé Goro Miyazaki”

  1. Je sais qu’on ne sait encore rien de ce film et que mon argument n’est pas justifiable mais savoir que le prochain Ghibli sera de nouveau entre les mains du fils de Hayao Miyazaki m’inquiéte un peu…

    J’ai vraiment été plus que très déçu par les Contes de Terremers tellement que je ne me souviens même plus de l’histoire et que j’ai failli quitté la salle de ciné quand je suis allée le voir. J’espère que celui-ci sera largement et très nettement meilleur.

    « Qui vivra, verra ! »

  2. je pense qu’on verra bien… j’ai moi aussi 1 peu déçu des contes de terremers, mais il faut se rappeler qu’il a été seul sur ce projet, alors que pour celui ci il sera avec son père, le géant Hayao Miyazaki

    vivement qu’il sorte =)

  3. FullMoonWoSagashite

    Le nouveau film des Studio Ghibli!! Celui-ci sera l’adaptation de Kokuriko Zaka Kara de Chizuru Takahashi et Tetsurô Sayama. Un shôjo des années 80 qui fût publié dans le Nakayoshi.

    C’est Goro Miyazaki qui se chargera de la réalisation. Hayao Miyazaki, son père, a quant à lui supervisé le projet et co-écrit le scénario. C’est Satoshi Takebe qui s’occupera de la musique.

    Concernant l’histoire du manga: Celle-ci se déroule en 1964, juste avant les jeux olympiques de Tokyo. On va suivre la vie quotidienne d’une jeune lycéeen,
    Komatsuzaki.

    lien:http://www.manga-news.com/index.php/actus/2010/12/16/Le-Nouveau-Ghibli

  4. FullMoonWoSagashite

    Ce prochain film Ghibli est une adaptation du shôjo manga éponyme de Chizuru Takahashi et Tetsurō Sayama, paru en 1980 dans le magazine Nakayoshi (éditions Kodansha) et très apprécié de Hayao Miyazaki. Il a été réédité par Ghibli et Kadokawa en juillet 2010 – cf. le visuel ci-contre.

    L’histoire de Kokuriko Zaka Kara se passe en 1963 (38 de l’ère Showa), l’année précédant les Jeux Olympiques d’été de Tokyo. Le scénario s’articule autour de la vie quotidienne d’une lycéenne, Komatsuzaki Umi, qui gère une chambre d’hôtes à l’occidentale sur la côte. Sa mère étant souvent partie, c’est elle qui s’occupe également de son frère et de sa sœur. L’histoire se focalise également sur sa vie (“heureuse et remplie”) de lycéenne, avec à ses côtés Kazama Shun, membre du journal du lycée, et Mizunuma Shiro, président du conseil des élèves.

    Le studio Ghibli semble définitivement vouloir mettre ses nouvelles recrues sur le devant de la scène, puisque la réalisation de Kokuriko Zaka Kara a été confiée à Goro Miyazaki, le fils du réalisateur phare du studio, déjà responsable des moins éblouissants Contes de Terremer sorti en 2006. La supervision du projet est cependant confiée à Hayao Miyazaki, qui a d’ailleurs co-écrit le scénario avec Keiko Niwa. Côté bande-originale, exit Joe Hisaishi, c’est le jeune Satoshi Takebe qui s’occupera des musiques du film. A la production, comme toujours, l’éternel Toshio Suzuki. L’héroïne Komatsuzaki est doublée par Aoi Teshima, qui interprétait déjà Therru dans les Contes de Terremer. Enfin, c’est la chaîne de conbinis Lawson (déjà partenaire du Musée Ghibli) qui est partenaire du film.

    Personnellement, je regrette un peu la direction prise par les derniers Ghibli, à savoir des films plus axés sur la vie quotidienne de protagonistes plutôt que sur une aventure grandiloquente. Je ne nie pas que Totoro soit une des excellences du studio, mais certaines productions un peu plus ambitieuses (à l’image de Princesse Mononoke, Le Tombeau des Lucioles ou Laputa) ne feraient certainement pas de mal à la réputation de Ghibli qui prend un risque de s’empaffer légèrement depuis Ponyo.

    Espérons que Kokuriko Zaka Kara remonte par la même occasion la réputation de Goro Miyazaki.

  5. Dans un magazine hors-série spécial Ghibli, on a la traduction exacte (Depuis la côte Coquelicot), et d’autres infos : « L’histoire décrira les relations que vont entretenir deux lycéens. La première est une jeune fille, Umi (Mer), vivant dans une pension familiale uniquement occupée par des femmes. Le second est un étudiant responsable d’un club de journalisme. Il aime parler de la société qui l’entoure et défend certaines convictions, prémices des mouvements sociaux à venir (révolte étudiante de 1968). Les deux adolescents vont se croiser, puis échanger certains sentiments. Mais la principale préoccupation d’Umi est son père disparu en mère. Elle envoie désespérément des signaux à chaque fois qu’elle aperçoit au large un remorqueur. »
    Hayao Miyazaki décrit ainsi l’oeuvre :  » Les garçons regardent au loin, vers le futur, tandis qu’Umi regarde l’horizon de la mère en espérant voir son père. »

  6. Même si c’est le fils de Miyazaki qui prend la direction de ce film, j’ai hâte de le voir.
    Par contre Hello Kitty, pour ton explication de la synopsis, tu te trompe dans le contexte car les J.O. de 1964 ont eu lieux à Tokyo (là ou l’histoire se passe) et que la révolte de Mai 68 c’était uniquement en France, même si ça c’était un peu élargie aux pays frontaliers.

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